28 Written explanations of Laurence TROCHU

J’ai voté en faveur de cette résolution car elle rappelle que les importants dégâts matériels et humains occasionnés par les inondations de 2023 nécessitent de faire preuve de solidarité civilisationnelle avec les régions touchées. La mobilisation de moyens et de fonds européens prévus pour répondre à ce type de situations est donc justifiée, d’autant qu’une partie bénéficie à la France.

J’ai voté en faveur de cette résolution car elle rappelle que les importants dégâts matériels et humains occasionnés par les inondations de 2023 nécessitent de faire preuve de solidarité civilisationnelle avec les régions touchées. La mobilisation de moyens et de fonds européens prévus pour répondre à ce type de situations est donc justifiée, d’autant qu’une partie bénéficie à la France.

Comme tous les peuples européens, les Moldaves ont le droit au respect de la souveraineté et de l’intégrité de leur pays. Toutefois, je suis défavorable à l’adhésion de la Moldavie à l’UE qui générerait des tensions diplomatiques, économiques et sociales supplémentaires pour les États membres. Je me suis abstenue sur cette résolution.

La Géorgie n’a pas vocation à intégrer l’Union européenne. Elle demeure néanmoins un partenaire, souverain en politique intérieure, mais dont la vie politique nationale n’est pas de la compétence du Parlement européen. Je me suis donc abstenue sur cette résolution.

Comme tous les peuples européens, les Moldaves ont le droit au respect de la souveraineté et de l’intégrité de leur pays. Toutefois, je suis défavorable à l’adhésion de la Moldavie à l’UE qui générerait des tensions diplomatiques, économiques et sociales supplémentaires pour les États membres. Je me suis abstenue sur cette résolution.

La Géorgie n’a pas vocation à intégrer l’Union européenne. Elle demeure néanmoins un partenaire, souverain en politique intérieure, mais dont la vie politique nationale n’est pas de la compétence du Parlement européen. Je me suis donc abstenue sur cette résolution.

J’ai voté pour cet instrument : l’argent, prélevé sur le budget déjà existant de l’UE, nous reviendra sans que notre pays n’ait à débourser plus d’argent. De plus, le prêt sera remboursé par les intérêts des avoirs russes gelés par les sanctions, directement aux États sans transiter par l’Ukraine. C’est une forme de réparation, une aide concrète pour l’Ukraine envahie, sans prendre de risques pour nos finances.

J’ai voté contre ce texte qui demande toujours plus d’argent pour le budget pour l’UE, et notamment l’adoption par le Conseil de nouvelles ressources propres qui s’ajouteront au mille-feuille fiscal écrasant déjà les contribuables. De plus, le Parlement souhaite que les excédents ne réduisent pas les contributions des États membres mais s’y ajoutent.

J’ai voté contre ce texte qui demande toujours plus d’argent pour le budget pour l’UE, et notamment l’adoption par le Conseil de nouvelles ressources propres qui s’ajouteront au mille-feuille fiscal écrasant déjà les contribuables. Le texte critique également les différents rabais négociés par certains États.

Je me suis abstenue sur cette résolution car, s’il est normal d’aider des travailleurs à se former pour retrouver un travail ou rester compétitif, cela ne devrait pas relever du budget de l’UE, en particulier car cette mesure prétend compenser des dégâts causés par les politiques de Bruxelles elle-même.

J’ai voté pour le refus de la décharge car le Conseil ne transmet pas ses comptes. Je ne peux donc pas assurer qu’ils sont bien tenus.J’ai également voté contre la résolution, qui, au lieu de s’en tenir à des considérations strictement budgétaires, est un pamphlet politique et s’attaque notamment au principe d’unanimité au sein du Conseil.

J’ai voté pour cet instrument : l’argent, prélevé sur le budget déjà existant de l’UE, nous reviendra sans que notre pays n’ait à débourser plus d’argent. De plus, le prêt sera remboursé par les intérêts des avoirs russes gelés par les sanctions, directement aux États sans transiter par l’Ukraine. C’est une forme de réparation, une aide concrète pour l’Ukraine envahie, sans prendre de risques pour nos finances.

J’ai voté contre ce texte qui demande toujours plus d’argent pour le budget pour l’UE, et notamment l’adoption par le Conseil de nouvelles ressources propres qui s’ajouteront au mille-feuille fiscal écrasant déjà les contribuables. De plus, le Parlement souhaite que les excédents ne réduisent pas les contributions des États membres mais s’y ajoutent.

J’ai voté contre ce texte qui demande toujours plus d’argent pour le budget pour l’UE, et notamment l’adoption par le Conseil de nouvelles ressources propres qui s’ajouteront au mille-feuille fiscal écrasant déjà les contribuables. Le texte critique également les différents rabais négociés par certains États.

Je me suis abstenue sur cette résolution car, s’il est normal d’aider des travailleurs à se former pour retrouver un travail ou rester compétitif, cela ne devrait pas relever du budget de l’UE, en particulier car cette mesure prétend compenser des dégâts causés par les politiques de Bruxelles elle-même.

J’ai voté pour le refus de la décharge car le Conseil ne transmet pas ses comptes. Je ne peux donc pas assurer qu’ils sont bien tenus.J’ai également voté contre la résolution, qui, au lieu de s’en tenir à des considérations strictement budgétaires, est un pamphlet politique et s’attaque notamment au principe d’unanimité au sein du Conseil.

J’ai voté contre cette proposition budgétaire qui demande toujours plus d’argent pour les politiques de l’UE. Si certaines augmentations auraient pu être bienvenues, en particulier concernant la protection de nos frontières, elles ne s’accompagnent pas de réductions des programmes tels que «droits et valeurs» ou de l’instrument de voisinage, qui servent à dépenser des milliards pour promouvoir le wokisme ou financer les pays tiers. La France, dont les finances sont exsangues, ne peut pas se le permettre.

J’ai voté contre cette proposition budgétaire, qui demande toujours plus d’argent pour les politiques de l’Union. Si certaines augmentations auraient pu être bienvenues, en particulier concernant la protection de nos frontières, elles ne s’accompagnent pas de réduction des programmes que sont «droits et valeurs» ou l’instrument de voisinage, et qui servent à dépenser des milliards pour promouvoir le wokisme ou financer les pays tiers. La France, dont les finances sont exsangues, ne peut pas se le permettre.

J’ai voté contre ce texte, qui, bien qu’il soit dépourvu de réelle valeur contraignante, vise à influencer les politiques sociales des États membres, pour lesquelles l’Union européenne n’est pourtant pas compétente. Les amendements dénotent un tropisme de gauche obsédé par l’inclusion, même si certains contiennent des pistes intéressantes sur la formation ou l’emploi des seniors. De plus, la défense systématique des minorités en tout genre, peu importe leur situation, est problématique.

J’ai voté en faveur de cette résolution afin de résoudre rapidement les problèmes causés par le règlement sur les dispositifs médicaux. Les patients, les fabricants ainsi que les organismes notifiés sont concernés.

J’ai voté en faveur de cette résolution afin de résoudre rapidement les problèmes causés par le règlement sur les dispositifs médicaux. Les patients, les fabricants ainsi que les organismes notifiés sont concernés.

J’ai voté en faveur de cette résolution cosignée par Marion Maréchal qui soutient l’Arménie et les réfugiés de l’Artsakh (Haut-Karabagh) et qui condamne fermement les actions menées par l’Azerbaïdjan. Ce texte, qui n’a certes qu’une portée symbolique, a le mérite de dénoncer l’épuration ethnique menée au Haut-Karabagh, l’effacement de toute trace du passé chrétien et arménien sur ce territoire et le musèlement de l’opposition. Avec cette résolution, nous appelons, en outre, à suspendre les importations de gaz en provenance d’Azerbaïdjan, à mettre fin aux ingérences de ce pays en France, à garantir le retour des réfugiés arméniens sur leurs terres ancestrales et à libérer les anciens responsables de la république d’Artsakh.

J’ai voté pour cette résolution car elle défend l’application intégrale de la résolution 2758 de l’ONU qui acte le principe d’une seule Chine dans les représentations de l’ONU. Par ailleurs, cette résolution rappelle le droit des habitants de Taïwan à déterminer librement leur avenir.

Le pacte vert impose des exigences irréalistes, dont les conséquences positives restent à démontrer, mais déjà dangereuses pour notre économie. J’ai voté pour ce texte qui accorde un délai supplémentaire dans l’application du règlement déforestation, pour que les entreprises, et notamment l’ensemble de la filière bois, aient le temps de se mettre au niveau sans menacer leur activité.

J’ai voté en faveur de ce rapport qui ne fait que soutenir une proposition de la Commission au Conseil. Cette proposition est de bon sens et soutient une évolution notable des procédures administratives en direction de la dématérialisation.

La facilitation et la meilleure gestion des dégrèvements d’impôts à la source dans le contexte de l’intensification des investissements transfrontaliers européens est une nécessité. Il s’agit de favoriser les investissements et de lutter contre les fraudes, objectifs que nous ne pouvons que soutenir. J’ai donc voté en faveur de ce rapport du Parlement européen qui soutient la proposition du Conseil.

J’ai voté contre la modification des statuts de la BEI car le rôle du Parlement s’en trouvera diminué. De plus, la ligne écologique doctrinaire de la BEI rend ses investissements moins utiles et efficaces. Enfin, la BEI a mis 8,4 milliards d'euros (10% des financements) à disposition de projets hors d’Europe en 2023.

J’ai voté contre cette résolution largement idéologique, irréaliste dans ses objectifs, catastrophiste dans ses constats, et beaucoup trop altruiste dans la destination de ses financements. La défense du nucléaire y est quasiment inexistante.